Milos, l’île qui t’en fait voir de toutes les couleurs

Milos, l’île qui t’en fait voir de toutes les couleurs

Milos, c’est un peu la palette du peintre des Cyclades : on y trouve toutes les couleurs de roches possibles, avec un rendu scénographique particulièrement réussi. L’île la plus à l’ouest des Cyclades a su nous séduire par sa géologie étonnante et ses petites maisons de pêcheurs lovée dans des criques à l’eau cristalline. Ses paysages tout en contrastes sont le fruit d’un volcanisme encore bien présent. Frustrant quand il ne nous reste plus que 2 jours mais quelle claque visuelle !

En haut d’île de Ré

En haut d’île de Ré

Faute d’un point de vue naturel satisfaisant, j’ai un jour gravi les 117 marches du clocher-observatoire de l’église de Saint-Martin-de-Ré, juste pour voir. Bravant la fatigue et les intempéries, j’y ai rencontré un panorama époustouflant sur le village, son riche patrimoine dont les fortifications Vauban sont un fleuron, et bien entendu sur l’île de Ré en général.

La corniche basque, chronique d’une disparition annoncée

La corniche basque, chronique d’une disparition annoncée

Entre Ciboure et Hendaye, la corniche basque, joyau d'Euskadi, est en souffrance. Ce magnifique sentier littoral, qui s'achève en apothéose à la pointe Sainte-Anne et au domaine d'Abbadia, n'est désormais plus accessible sur toute sa longueur en raison de l'érosion qui affecte l'ensemble du littoral français. Une disparition annoncée et quelques photos offertes au fil de ce billet en guise de souvenir, pour toi public !

Saint-Véran, autant en emporte le temps

Saint-Véran, autant en emporte le temps

Du haut de ses 2040 mètres d’altitude, Saint-Véran picore les étoiles et aligne ses vieilles fustes au soleil étincelant du Queyras. Là-haut, tout semble suspendu : le village au ciel, mais surtout, surtout, le temps. XVIIe, XVIIIe, XIXe, XXe, XXIe, on ne sait plus vraiment à quel siècle on navigue lorsqu’on arpente la longue rue où se succèdent dans une douce harmonie les ancestrales façades de pierre et de bois. Aujourd’hui, c’est un voyage dans les temps anciens que je vous propose.

Ecrins d’argent

Ecrins d’argent

Au fond d’une vallée qu’on appelle Fournel, il était une vieille mine d’argent, ou plutôt de galène argentifère, qui marqua la vie de la commune qui lui dédia son nom, l’Argentière-la-Bessée. Si le bourg affalé le long de la Durance a longtemps vécu au rythme de la mine et de l’industrie, il est aujourd’hui entièrement dédié au tourisme et aux sports de montagne, grâce à son emplacement idéal à l’entrée du Parc national des Ecrins.

Marcadau paradiso

Marcadau paradiso

On a traîné nos sacs-à-dos à Marcadau. Attention, je te préviens, on part sur un véritable coup de cœur ! Joyau du Parc national des Pyrénées la vallée du Marcadau, accessible depuis le mythique site de Pont d’Espagne, c’est la promesse d’une rando pas trop difficile dans un décor parfait. Le combo de la win en quelque sorte. Allez hop ! C’est parti pour une belle balade de 16km au fin fond d’une vallée inoubliable, du côté de Cauterets.

Causses toujours !

Causses toujours !

Tu ne sais pas à quel point ça fait un bien fou de se retrouver là, dans une vieille maison humide aux murs épais, à presque 1000 mètres d’altitude, sans une barre de réseau mobile ni télévision, dans un lieu-dit qu’on appelle Mas-de-Val. Sur des kilomètres à la ronde, de vastes étendues d’herbes rases entrecoupées de quelques forêts de conifères. Un no man’s land à la fois spectaculaire et reposant.