Balades romaines

Tous les chemins mènent à Rome, c’est bien connu. D’ailleurs, tu remarqueras très vite la pertinence de l’adage en t’approchant des sites phares de la Ville éternelle. Comme braver la foule ne faisait pas partie de mes plans, j’ai profité de ma deuxième rencontre avec la capitale italienne pour découvrir une Rome un poil plus tranquille, loin des principaux flux touristiques.

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Garbatella, ici Garbatella… Un coin où personne ne va

Alors au diable Colisée, piazza Navona, basilique Saint-Pierre et autre fontaine de Trevi ! Tu ne trouveras point d’informations sur les grands classiques de Rome dans ce billet, il existe déjà des dizaines et des dizaines d’articles dans la blogosphère qui en parlent bien mieux que je n’aurais pu le faire. A la place, je te propose une balade à travers 10 lieux, 10 coups de cœur qui te permettront de profiter pleinement de la Ville éternelle sans faire la queue pendant des heures.

Tu t’en doutes, il faudra souvent s’éloigner du centre ville.

#1 – Arpenter le decumanus d’Ostia antica

Notre première balade nous emmène d’ailleurs à l’extérieur de la ville. A mes yeux, le site d’Ostia antica fait figure d’alternative parfaite à l’incontournable Forum romain, puisque tu ne feras pas la queue pendant des plombes pour y entrer. L’ancien port de la Rome antique aligne ses ruines sur une superficie impressionnante, ce qui a bien sûr comme avantage de disperser les visiteurs. A la différence du Forum romain et du Palatin, Ostie te montrera une véritable ville, avec thermes, forum, casernes, curie, théâtre et tout le toutim. Un décor de briques roses et de pins parasols, de mosaïques et de larges pelouses, où ruines et végétation se combinent dans une douce harmonie.

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Parmi mes coups de cœur, la place des Corporations et ses extraordinaires mosaïques figuratives se tient en bonne place. Ici se trouvaient les anciens comptoirs d’armateurs et de marchands issus de villes portuaires qui commerçaient avec Ostie. On y reconnait leur spécialité ou leur ville d’origine sur les mosaïques, qui constituaient leur enseigne en quelque sorte. Un peu plus loin, c’est la hauteur des insulae et l’état de conservation d’une ancienne taverne qui m’ont impressionnée.

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Bref, tu as de quoi tenir la journée entière sur ce site d’une très grande richesse, qui compte également un musée. Si tu évolueras à l’aise dans les différentes rues de la ville, tu trouveras quand même du monde à la petite cafétéria qui jouxte le musée. Pour esquiver le monde, sache que tu peux pique-niquer sur place, à condition de respecter strictement le règlement d site. N’hésite pas à venir tôt pour profiter d’un calme maximum.

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Comment y aller ?

En train de banlieue au départ de la gare Roma Porta San Paolo (métro Piramide), direction Lido. Descendre à la station Ostia antica.
Fermé le lundi
Plus d’infos sur http://www.ostiaanticatickets.it/fr/

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#2 – Frissonner devant la prophétie de Saint-Paul-hors-les-murs

En revenant d’Ostie, nous sommes descendus avant le terminus de Porta San Paolo. Sur le chemin du retour nous attendait l’une des quatre basiliques majeures de Rome : Saint-Paul-hors-les-murs. Ce n’est pas n’importe quelle basilique, c’est ma préférée !
Son premier atout réside dans son éloignement du centre ville (comme son nom l’indique). Résultat, il n’y a pas grand monde venu admirer les médaillons des papes, attraction qui tient en haleine l’ensemble de la chrétienté. Mais ça, je t’en parlerai plus tard.

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Ce qui m’a d’abord frappé, c’est son côté un peu secret. Aussi curieux que cela puisse paraître, son entrée monumentale est exposée du côté où il y a le moins de recul pour l’admirer, et ne se dévoile qu’après avoir presque fait le tour de l’édifice quand tu arrives du métro. Tu contournes soigneusement de longues façades plutôt sobres et paf, sans crier gare, tu te retrouves face à un immense portique qui dévoile un sympathique jardin agrémenté de hauts palmiers. Une entrée majestueuse pour une église d’exception. J’aime aussi son petit cloître si mignon. Le jardinet y répond à la finesse des colonnades serties de mosaïques.

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Mais surtout, j’aime le mystère qui entoure cette basilique. A l’intérieur, ton regard est très vite happé par cette immense frise de médaillons, qui fait le tour complet de l’église. Partout, à 360 degrés, des portraits de papes. Tu finis par tomber sur un médaillon éclairé. Un visage familier. C’est le pape François ! Et puis, innocemment, tu constates qu’il ne reste plus beaucoup de médaillons de libres après lui (en fait, à la base, il n’y en avait plus qu’un mais tu remarques qu’ils en ont probablement ajouté quelques-uns à une époque plus récente). A cet instant, je me suis demandée comment ils allaient faire pour les suivants. Et puis en rentrant de Rome, j’ai cherché un peu. La légende dit que quand il n’y aura plus de médaillon de libre, ça voudra dire que ce sera la fin du monde. Rire jaune.

Comment y aller ?

Métro ligne B – station Basilica San Paolo

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#3 – Se perdre dans les impasses du Trastevere

Si tu veux fuir les ruelles bondées du cœur de Rome, il te faudra traverser le Tibre. Ça tombe bien, Trastevere signifie littéralement « de l’autre côté du Tibre » ! Bien que de plus en plus à la mode et donc de plus en plus fréquenté, le quartier reste encore à l’écart des plus grands axes touristiques. C’est encore plus vrai si tu t’éloignes de la Basilica Santa Maria in Trastevere, qui demeure le point névralgique du quartier.

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Le Trastevere, c’est un drôle de mélange entre des ruelles proprettes et colorées et d’autres restées « dans leur jus », tags et street art en prime. Tu y trouves des rues animées, bordées de petits commerces et de restos, comme des ruelles pavées au charme presque campagnard.

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Blotti au pied de la colline du Janicule, le Trastevere laisse de la place à la végétation, à la différence de l’hypercentre. Tu y noteras notamment la présence discrète du jardin botanique. Il faut parcourir les petits vicoli colorés pour ressentir pleinement l’âme de ce quartier plein de charme. Bref, un condensé de Rome populaire, en tout cas plus accessible que les rues qui se trouvent de l’autre côté du fleuve.

Comment y aller ?

A pieds, via le ponte Sisto.

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#4 – Célébrer H2O à la Fontana dell’Acqua Paola

Si elle est moins spectaculaire que sa cadette la fontaine de Trevi, la Fontana dell’Acqua Paola fait quand même dans le monumental. Il paraîtrait même qu’elle aurait inspiré sa célébrissime consœur. Elle arbore donc sa sublime façade Renaissance en forme de portique aux rares visiteurs de passage, celles et ceux qui auront eu le courage de monter jusqu’à la colline du Janicule, à l’entrée de laquelle elle se trouve.

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La fontaine est née de la volonté du pape Sixte V de fournir aux habitants du quartier une nouvelle source d’eau potable. Les travaux sont confiés à l’architecte Giovanni Fontana (ça ne s’invente pas), qui remet donc sur pieds l’antique aqueduc Aqua Trajana, devenu au XVIIe siècle l’aqueduc Acqua Paola, et décide d’offrir à son terminus le plus beau des écrins. Ses pierres blanches immaculées issues d’un ancien temple antique lui confèrent élégance et légèreté, et donnent à l’eau de son bassin une jolie couleur plage des Bahamas.

Le petit plus de cette fontaine, c’est aussi sa vue dégagée sur la ville. Ne pas hésiter à pousser un peu plus loin pour bénéficier du sublime panorama du Janicule.

Comment y aller ?

A pieds, depuis le quartier du Trastevere, par la via Garibaldi ou la via di Porta San Pancrazio.

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Alors, ça valait le coup de pousser jusqu’au Janicule, non ?

#5 – Dénicher les détails incongrus du Palazzo Altemps

Tout commence par un musée « classique ». Un joli palais, de belles statues antiques, bref le parcours attendu d’un musée romain. Le Palazzo Altemps abrite une partie des collections du Musée national romain, avec quelques pièces particulièrement spectaculaires. Tu peux y admirer la finesse des détails du Grand sarcophage Ludovisi ou le dramatique Suicide du Galate, le tout dans un décor de fresques et de plafonds peints du plus bel effet.

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Mais ce que j’ai plus aimé encore, ce sont les petites touches d’excentricité qui hantaient certaines salles du palais. J’ignore encore si c’est permanent ou si c’était le fait d’une exposition temporaire, mais les scènes incongrues ont fait de cette visite un véritable délice. Le mélange détonnant d’un guerrier assis à côté d’une guitare électrique, d’un vélo tenu négligemment par le guidon par un homme de marbre blanc. L’art contemporain s’est invité au milieu des statues antiques et c’était chouette.

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Je te tiens, tu me tiens par la barbichette

On s’attendait à voir du monde dans ce musée situé à deux pas de la piazza Navona, nous étions presque seuls.

Visiter le Palazzo Altemps

Plus d’informations sur le site du Museo nazionale romano (quand il fonctionnera à nouveau)

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#6 – Plonger dans les entrailles du Palazzo Valentini

Rien, mais vraiment rien ne laisse présumer ce qui se cache derrière la façade de ce palais aujourd’hui reconverti en bâtiment administratif. Après t’être débarrassé·e de toutes tes affaires à la consigne, te voilà déjà en train de remonter le temps au fur et à mesure que tu descends dans les entrailles de l’édifice.

Il y a quelques années, des fouilles menées dans les sous-sols du Palazzo Valentini ont révélé un petit trésor archéologique. Les restes de deux maisons patriciennes, et notamment des bains, ont été mis au jour à cette occasion. A travers un parcours aménagé, où tu évolues sur un plancher de verre ou une passerelle, te voilà projeté·e dans l’architecture des grandes demeures nobles de la période impériale. L’immersion est encore plus bluffante avec les projections numériques qui reconstituent des salles entières, à partir des ornements et des éléments découverts sur place.

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Le palais Valentini (c’est le bâtiment blanc à gauche de l’église)

Ciliegia sulla torta, la vue imprenable sur le bas de la colonne Trajane depuis une petite ouverture aménagée au bout d’un couloir qui descendait en pente douce.

Visiter les domus romane

Accès aux domus depuis l’arrière du Palazzo Valentini, juste en face de la colonne Trajane.
Fermé le mardi.
Visite guidée uniquement (en anglais ou en italien), en petits groupes, de 9h30 à 18h30. Réservation fortement conseillée. Photos strictement interdites. Consigne obligatoire.
Plein tarif : 12€
Site internet

#7 – Prendre un bain chez Caracalla

Je ne sais pas si le lieu est habituellement calme ou si c’est la course à pieds qui barrait la grande avenue voisine ce jour-là qui a refroidi les visiteurs. Toujours est-il que l’endroit était quasi désert quand nous avons passé le portique d’entrée des thermes de Caracalla.

 

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A l’époque, les thermes de Caracalla, c’était the place to be. Dans les salles aux dimensions monumentales et au décor luxueux, les romains s’y retrouvaient, discutaient, y parlaient négoce. Combien d’affaires se sont conclues sur les bancs du tepidarium !

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Aujourd’hui encore, l’ampleur des ruines et la hauteur impressionnante des murs de briques donne la mesure de ce qui fut le plus somptueux des thermes romains de l’époque. Près de 1600 personnes pouvaient s’y trouver en même temps, dans les bains comme au « gymnase » attenant. Ce Caracalla avait la folie des grandeurs ! Au fait, tu le savais toi que cet empereur était né à Lyon (enfin, Lugdunum) ?

Comment y aller

Par le métro, ligne B, station Circo Massimo. Suivre ensuite le Viale delle terme di Caracalla.

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#8 – Suivre les pas des Présidents à Saint-Jean-de-Latran

Des 10 sites que je liste ici, c’était de loin le plus fréquenté. Il faut dire que le lieu jouit d’une certaine réputation : c’est l’une des quatre basiliques majeures de Rome, et probablement la plus connue après Saint-Pierre. Considérée comme « la mère de toutes les églises de la ville et du monde ». Le siège de l’évêché de Rome, dont le titulaire n’est autre que le Pape en personne. La plus facile d’accès aussi, grâce à la présence voisine d’une station de métro. Nous sommes ici en terre vaticane extraterritoriale. On y trouve aussi un semblant de « French Touch ». Sache que depuis Henri IV, le chef de l’Etat français, qu’il soit roi, empereur ou président de la République, est affublé du titre de proto-chanoine honoraire de cette basilique, un titre aujourd’hui plutôt incongru pour un pays laïc.

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Mais que se cache-t-il derrière l’immense porte en bronze venue tout droit de la Curie romaine, au cœur du Forum antique ? Une œuvre majestueuse signée Francesco Borromini, chargé de réaménager l’intérieur de la basilique pour le jubilé de 1650, mais pas que. Si le célèbre architecte a su tirer parti au mieux de la lumière pour mettre en valeur les différents éléments architecturaux de l’église, il s’est également appuyé sur des décors préexistants de toute beauté. Comme le plafond maniériste, aux ornements précis et colorés.

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Mais mon coup de cœur se tourne précisément là où le regard se porte rarement : au sol. Des petits carreaux multicolores dessinent arabesques et figures géométriques, formant un pavement en marquèterie de marbre expressif et joyeux. On appelle ça le style cosmatesque, du nom des Cosmati, ces marbriers des XIIe et XIIIe siècles qui réutilisaient marbres et porphyres colorés des anciens monuments antiques pour former ces sols captivants. Le dernier joyau, cette fois postérieur à l’œuvre de Borromini, réside dans les 12 statues d’apôtres qui habillent l’intérieur de la basilique.

Comment y aller ?

Par le métro, ligne A ou C, station San Giovanni.

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#9 – Tourner le dos à St Pierre au rione de Prati

Au nord-est de la cité du Vatican, le rione de Prati est bien loin de l’image que l’on se fait de Rome. Ici, pas de ruelles étroites et sinueuses, Prati, c’est un damier de larges rues tracées au cordeau, entourées d’immeubles de même hauteur, et souvent bordées d’arbres. Et pour cause, le XXIIe Rione de Rome a été édifié entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe dans le cadre d’une large opération d’urbanisme, afin de répondre au développement rapide de la ville. Fun fact, si le quartier borde la Cité du Vatican sur son flanc nord, il a été conçu de façon à tourner le dos à la basilique Saint-Pierre, si bien que son dôme caractéristique n’est visible que depuis une poignée de rues seulement.

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Des façades plutôt chics, aux couleurs pastel, une certaine idée de la monumentalité et les alignements d’arbres aux feuillages légers rendent le quartier particulièrement charmant. On est clairement dans un quartier résidentiel, avec tous les commerces de proximité nécessaires, et pas plus. Au-delà du calme qui y règne, le quartier a l’avantage d’être desservi par plusieurs stations de métro, fait suffisamment rare à Rome pour être souligné. Et si tu cherches malgré tout un peu d’animation, tu trouveras ton bonheur sur la piazza Risorgimento

Le resto

Ragno d’oro, Via Silla, 26 (quartier de Prati)
Une jolie petite adresse où tu seras accueilli·e comme si tu faisais partie de la famille. Cuisine romaine gourmande.

Comment y aller ?

En métro, ligne A, stations Lepanto ou Ottaviano

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#10 – Entendre les mouches voler à la Centrale Montemartini

Je ne pouvais pas ne pas terminer cette sélection par mon coup de cœur parmi les coups de cœur, la Centrale Montemartini. Malgré sa présence timide dans mon guide Cartoville, ce musée hors du commun brille par sa discrétion absolue et par l’absence totale ou presque de visiteurs. Seul le bruit de nos pas troublait le silence, et s’il y avait eu une mouche à l’autre bout du musée, on l’aurait entendue voler !

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Mais quel est donc ce drôle de musée perdu dans le quartier excentré d’Ostiense ? Comme son nom l’indique, la Centrale Montemartini est avant tout… une centrale électrique. Enfin était une centrale électrique, car depuis 1997, les lieux accueillent des statues et des mosaïques antiques autrefois planquées dans les réserves des musées Capitolins. Rien de très original donc par rapport à moultes musées romains.

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La « Montemartini’s touch », c’est avant tout un drôle de contraste entre beaux-arts et décors industriels. Ici, les œuvres deux fois millénaires côtoient les machineries début XXe de la centrale. Un mélange des genres tout-à-fait anachronique et parfaitement original. Imaginez ! Cléopâtre au milieu des moteurs Diesel… Dionysos dans les chaudières…

Last but not least, jumelage oblige, ce musée est gratuit pour les Parisiens.

Comment y aller ?

En métro, via la ligne B, station Garbatella. Il faut emprunter la passerelle au-dessus de la voie ferrée et traverser une zone peu avenante pour arriver jusqu’au musée.
Le site internet

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Toutes ces visites ont été réalisée en avril. Ce qui est vrai au printemps n’est donc peut-être pas le cas en été ou en toute autre saison.

 

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10 commentaires sur “Balades romaines

  1. Je ne connais pas du tout Rome. Rome m’effraye à vrai dire avec tout le monde qu’il doit y avoir. Cependant je garde précieusement ton billet sur mon pinterest car visiter Rome loin de la foule çà me tente vachement

    1. C’est sûr qu’il y a vraiment beaucoup de monde à Rome. J’y suis allée deux fois, à chaque fois en avril, et certains sites ou certains quartiers croulaient sous la foule. Du coup, ces 10 sites-là, pas trop fréquentés, m’ont fait un bien fou ! Mention spéciale pour le Palazzo Altemps et la Centrale Montemartini, où nous étions quasiment seuls ! Après, j’imagine que la meilleure façon d’esquiver les gens, c’est de venir en novembre.

  2. Mais tu as déniché quelques jolies pépites, certaines dont je n’avais pas entendu parlé du coup, je mets sur ma liste parce que Rome, on peut y retourner encore et encore, il y a tellement de choses à voir !

    1. Oh oui, cette ville est tellement riche ! Ravie qu tu découvres certaines parties. J’aurais adoré me balader dans EUR mais c’était un peu juste en terme de temps.Il y a d’autres quartiers et musées que je me mets de côté, en plus de ceux que tu mentionnes dans ton article.

  3. Oh oui, cette ville est tellement riche ! Ravie qu tu découvres certaines parties. J’aurais adoré me balader dans EUR mais c’était un peu juste en terme de temps.Il y a d’autres quartiers et musées que je me mets de côté, en plus de ceux que tu mentionnes dans ton article.

  4. Super sympa cet article, merci pour tous ces conseils ! Comme toi j’ai déjà visité Rome une première fois et un deuxième round me plairait bien, mais cette fois-ci un peu plus calmement. Le quartier de Trastevere m’avait complètement charmé la dernière fois, et comme toi j’y remettrai les pieds lors d’un prochain séjours. Merci pour toutes ces jolies adresses que je note, et surtout l’Ostia Antica qui me tente bien.

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